QUESTIONS AUX CANDIDATS
1. Qu'est-ce qui fait de vous le meilleur candidat possible pour le canton de L'Aigle ?
Notre parfaite connaissance du territoire depuis très longtemps, notre présence et notre implication dans la vie locale.
Serge Delavallée: chef d’entreprise depuis 40 ans, j’ai été président de l’union commerciale. Elu depuis 1995, vice président de la CDC, et président de l'office de tourisme, j’ai créé le festival Jazz en Ouche. Je suis convaincu que pour que notre territoire soit attractif et retienne sa population, il faut des équipements modernes comme le nouveau gymnase ou le nouveau complexe Cinéma/théâtre.
Arlette Bouchaud: mon métier d’enseignante au lycée professionnel m’a souvent donné l’occasion d’aider les jeunes en difficulté. Je suis tournée vers les autres et convaincue que je peux apporter beaucoup pour notre canton. Conseillère municipale et présidente du jumelage avec nos villes allemande et slovaque, je fais rayonner notre territoire au-delà des frontières.
Notre sensibilité différente de celle de la majorité de droite actuelle au conseil général sera un complément indispensable pour le développement de notre canton.
2. Quels choix politiques doit faire le Département de l'Orne pour devenir plus attractif pour les entreprises et les touristes ?
Les aménagements routiers autour de L’Aigle et particulièrement vers le région parisienne, vers l’ouest et l’autoroute A28.
L’installation du très haut débit internet ( fibre optique) pour les entreprises et les habitants.
La couverture totale de notre territoire en téléphonie mobile.
Il faut aussi développer le tourisme. Nos atouts: la vallée de la Risle autour des sites de la Manufacture Bohin, de la Grosse Forge d’Aube, de la Ferme de Rai.
La mise en valeur du musée vivant de l’énergie à Chandai.
3. Quels sont les atouts du canton de L'Aigle pour tirer son épingle du jeu dans le cadre des choix que vous venez de définir ?
Notre situation géographique, aux portes de la région parisienne et à moins de 100 km de la mer est un atout pour attirer les entreprises; la ligne de chemin de fer Paris-Granville complète l’excellence de notre territoire.
La Risle donne de l'attractivité, elle est un «plus» pour notre tourisme. La manufacture Bohin: 15000 visiteurs en 2014 et à ce jour plus de 5200 réservations. Ce musée au cœur d’un site industriel en activité est actuellement le principal moteur touristique du territoire.
Le festival Jazz en Ouche permet à toutes les communes de notre territoire, au début de l’hiver, de partager un événement commun.
La programmation de la fête du Ciel cette année sur l’aérodrome de L’Aigle, plus grand événement gratuit de l’été.
4. Le Département n'est-il pas de trop ? Pourquoi ne pas le supprimer et transférer ses compétences à la Région ?
Les compétences du futur conseil départemental sont en train d’évoluer avec des transferts vers d’autres collectivités (région…), mais nous pensons que le département a toute sa place pour les compétences de proximité, de communication et pour les collèges. Que ce soit le volet social (familles en difficulté, personnes ayant un handicap, personnes âgées..), les communications ou l’entretien des collèges et leurs logistiques, il faut des élus de terrain présents, attentifs et à l’écoute de tous les problèmes qui peuvent se présenter au quotidien.
5. Ces élections inaugurent le vote pour un binôme homme-femme. Pensez-vous qu'une Assemblée départementale comptant autant d'hommes que de femmes sera plus efficace que celle que nous connaissions jusqu'à présent ?
Aujourd’hui, sur 40 conseillers généraux, seulement 3 femmes sont élues (après la démission de Véronique Louwagie). La parité homme-femme, décidée par l’assemblée nationale, est une avancée majeure pour notre société. Enfin une autre façon de voir la politique, une autre sensibilité pour décider et associer hommes et femmes, pour préparer l’avenir.
BOOSTER L'INTERNET ET PREPARER L'AVENIR
L’Avenir du pays aiglon
dépend de son adaptation aux évolutions de notre époque, en particulier dans
les domaines des communications et des équipements publics.
Le département doit fédérer,
initier des politiques sociales avec un vrai service de proximité. Il doit
répondre aux attentes des habitants en terme de petite enfance, d'insertion
professionnelle ou de lutte contre la dépendance.
Nous souhaitons développer le
blog « Tavidado » à destination du public collégien avec de nouvelles
offres et un passe culture et sport donnant droit à des réductions.
UNE VIE CULTURELLE ACTIVE, UN ATOUT DE 1er ORDRE POUR NOTRE TERRITOIRE.
1. Qu'est-ce qui fait de vous le meilleur candidat possible pour le canton de L'Aigle ?
Notre parfaite connaissance du territoire depuis très longtemps, notre présence et notre implication dans la vie locale.
Serge Delavallée: chef d’entreprise depuis 40 ans, j’ai été président de l’union commerciale. Elu depuis 1995, vice président de la CDC, et président de l'office de tourisme, j’ai créé le festival Jazz en Ouche. Je suis convaincu que pour que notre territoire soit attractif et retienne sa population, il faut des équipements modernes comme le nouveau gymnase ou le nouveau complexe Cinéma/théâtre.
Arlette Bouchaud: mon métier d’enseignante au lycée professionnel m’a souvent donné l’occasion d’aider les jeunes en difficulté. Je suis tournée vers les autres et convaincue que je peux apporter beaucoup pour notre canton. Conseillère municipale et présidente du jumelage avec nos villes allemande et slovaque, je fais rayonner notre territoire au-delà des frontières.
Notre sensibilité différente de celle de la majorité de droite actuelle au conseil général sera un complément indispensable pour le développement de notre canton.
2. Quels choix politiques doit faire le Département de l'Orne pour devenir plus attractif pour les entreprises et les touristes ?
Les aménagements routiers autour de L’Aigle et particulièrement vers le région parisienne, vers l’ouest et l’autoroute A28.
L’installation du très haut débit internet ( fibre optique) pour les entreprises et les habitants.
La couverture totale de notre territoire en téléphonie mobile.
Il faut aussi développer le tourisme. Nos atouts: la vallée de la Risle autour des sites de la Manufacture Bohin, de la Grosse Forge d’Aube, de la Ferme de Rai.
La mise en valeur du musée vivant de l’énergie à Chandai.
3. Quels sont les atouts du canton de L'Aigle pour tirer son épingle du jeu dans le cadre des choix que vous venez de définir ?
Notre situation géographique, aux portes de la région parisienne et à moins de 100 km de la mer est un atout pour attirer les entreprises; la ligne de chemin de fer Paris-Granville complète l’excellence de notre territoire.
La Risle donne de l'attractivité, elle est un «plus» pour notre tourisme. La manufacture Bohin: 15000 visiteurs en 2014 et à ce jour plus de 5200 réservations. Ce musée au cœur d’un site industriel en activité est actuellement le principal moteur touristique du territoire.
Le festival Jazz en Ouche permet à toutes les communes de notre territoire, au début de l’hiver, de partager un événement commun.
La programmation de la fête du Ciel cette année sur l’aérodrome de L’Aigle, plus grand événement gratuit de l’été.
4. Le Département n'est-il pas de trop ? Pourquoi ne pas le supprimer et transférer ses compétences à la Région ?
Les compétences du futur conseil départemental sont en train d’évoluer avec des transferts vers d’autres collectivités (région…), mais nous pensons que le département a toute sa place pour les compétences de proximité, de communication et pour les collèges. Que ce soit le volet social (familles en difficulté, personnes ayant un handicap, personnes âgées..), les communications ou l’entretien des collèges et leurs logistiques, il faut des élus de terrain présents, attentifs et à l’écoute de tous les problèmes qui peuvent se présenter au quotidien.
5. Ces élections inaugurent le vote pour un binôme homme-femme. Pensez-vous qu'une Assemblée départementale comptant autant d'hommes que de femmes sera plus efficace que celle que nous connaissions jusqu'à présent ?
Aujourd’hui, sur 40 conseillers généraux, seulement 3 femmes sont élues (après la démission de Véronique Louwagie). La parité homme-femme, décidée par l’assemblée nationale, est une avancée majeure pour notre société. Enfin une autre façon de voir la politique, une autre sensibilité pour décider et associer hommes et femmes, pour préparer l’avenir.
BOOSTER L'INTERNET ET PREPARER L'AVENIR
L’Avenir du pays aiglon
dépend de son adaptation aux évolutions de notre époque, en particulier dans
les domaines des communications et des équipements publics.
Une des priorités est
l’installation de la fibre optique dans notre département, seule solution d’avenir
adaptée en téléphonie mobile et accès internet
à très haut débit.
Les autres techniques,
(wimax, filaire en cuivre) tentées ces dernières années par le conseil général
de l’Orne ont été des erreurs, d’où le retard pris.
Actuellement, le Calvados et
la Manche sont équipés en fibre optique et le département de l’Eure, à nos portes,
sera couvert dans les 2 ans, alors que nous prévoyons seulement 2020 pour notre
canton, si tout va bien…
Cette situation est un
véritable handicap pour l’économique locale et les chefs d’entreprises, petites
ou grandes, sont bien placés pour le savoir.
La majorité départementale
sortante en porte la responsabilité. Retard pour la fibre optique et retard
également pour le réseau routier du pays
aiglon.
En 2011, dans sa campagne
électorale sur le canton de L’Aigle-ouest, Madame Louwagie s’était donnée comme
« priorité pour les 3 ans à venir : l’amélioration de la RD 926 et
son raccordement à l’autoroute A28 ».
Dans la réalité, rien n’a été
fait et pourtant, plus de 120 millions d’euros ont été dépensés pour les routes
du département, mais ailleurs que chez nous !!!
Autres priorités pour Madame
Louwagie en 2011 « le contournement de Verneuil, la mise en 2X2 voies de
la RN12 entre Nonancourt et Dreux ainsi que l’amélioration de la
téléphonie mobile et le développement du très haut débit». Là non plus rien n’a
bougé. Le poids de Madame la Députée-maire de L’Aigle n’a pas pesé bien lourd.
En ce qui concerne la ligne
ferroviaire Paris-Granville, vitale pour le pays aiglon, celle-ci dépend de la
région présidée par Laurent Beauvais. Le maximum a été fait et continue d’être
fait.
L’avenir du pays aiglon
dépend tout autant des équipements publics que des communications.
Ceux-ci doivent être de
qualité dans les domaines de la santé (hôpital), de l’enseignement et des
loisirs (vie culturelle et sportive).
C’est pourquoi le complexe
Cinéma/théâtre voté à la quasi unanimité des maires de la communauté des
communes est une véritable nécessité.
Le pays aiglon à l’écart des
grands centres urbains, mais à proximité de la région parisienne, doit tout
faire pour être attractif et développer ses potentialités de pôle régional.
Il doit se tourner vers
l’avenir.
C’est cette volonté forte qui
nous anime, et toute notre action au cours de ces dernières années en est la
preuve.
Pour que votre canton soit
entendu, votez Arlette Bouchaud et Serge Delavallée.
LE SOCIAL, LA COMPETENCE LA PLUS IMPORTANTE DU DEPARTEMENT
Le social représente le plus
gros budget de fonctionnement, soit plus
de 60%.
Pourtant, on peut se demander
si les orientations prises constituent un véritable bouclier social face au
contexte de crise économique pour protéger les personnes les plus vulnérables:
les personnes âgées, les enfants et les familles, les bénéficiaires du RSA, les
personnes en situation de handicap. Et nous connaissons tous quelqu'un qui,
aujourd'hui, se trouve dans une situation de fragilité.
Le volet social est important parce qu'il
peut toucher chaque ornais à un moment de sa vie, du bébé avec la PMI à la
personne âgée avec l'aide à la personne.
Le département doit fédérer,
initier des politiques sociales avec un vrai service de proximité. Il doit
répondre aux attentes des habitants en terme de petite enfance, d'insertion
professionnelle ou de lutte contre la dépendance.
L'accompagnement social doit
se faire au plus près des citoyens, avec plus de moyens pour les différents
services d'actions sociales, en renforçant le rôle des entreprises d'insertions
et en soutenant les associations de services à la personnes.
La lutte contre l'exclusion
ne doit pas être une politique du coup par coup, elle doit être ambitieuse pour
notre territoire. Le département doit sans cesse se questionner sur le
bien-fondé de sa politique sociale et de son efficacité sur le territoire.
C'est le seul moyen d'être attentif à tous et de répondre aux besoins des
habitants.
Le vieillissement de la
population nécessite un soutien fort aux associations de maintien à domicile et
aux maisons de retraites (EHPAD). Sur le canton, comme ailleurs, on doit
pouvoir choisir de
« bien-vieillir » en faisant le choix d'un maintien à domicile dans
de bonnes conditions ou celui d’aller dans une maison de retraite, même avec de
petits revenus. Lutter contre la dépendance des personnes âgées, c'est d'abord
rompre l'isolement, favoriser le lien social, aider aux aménagements des
habitations et aussi soutenir les associations
de services à la personne, en augmentant le nombre de formations qualifiantes
proposées.
Accompagner le
vieillissement, c'est offrir des opportunités de réinsertion professionnelle,
c'est créer de l'emploi et de l'économie sur le territoire.
Accompagner la parentalité,
c'est permettre à des familles de se construire ou de se reconstruire, c'est
protéger les enfants.
Accompagner les personnes en
situation de handicap, c'est offrir une reconnaissance sociale et
professionnelle.
Une politique sociale ne peut
être efficace que si elle est l'affaire de tous, et accessible à tous.
Arlette Bouchaud et Serge
Delavallée.
LE COLLEGE, UN PARI GAGNANT POUR LA JEUNESSE
Actuellement, le conseil général assure la construction,
l’entretien et le fonctionnement des collèges publics. Sur notre canton, les
collèges DOLTO et MOLIERE, avec un peu plus de 900 élèves, rayonnent bien
au-delà de L’Aigle.
Le nouveau volet de la réforme territoriale (loi NOTRe) prévoyait de transférer cette compétence vers la
Région. Le Sénat vient de faire revenir les collèges dans le giron du
Département.
Le conseil général organise également le transport scolaire
vers toutes les écoles, avec une participation financière non négligeable pour
les familles. Nous proposerons que ce coût pour les parents puisse être payé en
deux fois afin d’alléger, en septembre,
les frais liés à la rentrée scolaire.
L’Orne a fait du développement de l’informatique au collège
une priorité. Nous soutiendrons cette politique et voulons l’amplifier
avec la généralisation rapide des
espaces numériques de travail , comme au
Collège Molière. Cela suppose le très haut débit, à l’aide de la fibre optique,
pour tous et accessible financièrement à
chacun. Les outils d’aujourd’hui et de demain (tableau interactif, tablettes
numériques, ballado-diffusion) doivent être une priorité au service des
enseignements.
L’entretien des bâtiments est pour nous primordial, l’espace de vie de
chaque enfant est aussi une des
conditions de sa réussite. Les personnels techniques y veillent et doivent être
soutenus dans leur mission.
La restauration
collective au sein de nos établissements doit progressivement s’orienter vers les
circuits courts avec une intégration croissante de produits bios. Les
initiatives du collège Dolto et de son cuisinier qui ont été récompensées par
le challenge « Bien manger en Normandie » seront encouragées.
Nous souhaitons développer le
blog « Tavidado » à destination du public collégien avec de nouvelles
offres et un passe culture et sport donnant droit à des réductions.
L’apprentissage des fondamentaux, au collège, est le socle
nécessaire à la poursuite d’études de
nos collégiens leur permettant d’affiner
leur futur projet professionnel.
Nous veillerons à
tout mettre en œuvre, notamment sur le plan logistique, afin d’aider les
enseignants dans leur mission.
UNE VIE CULTURELLE ACTIVE, UN ATOUT DE 1er ORDRE POUR NOTRE TERRITOIRE.
Le débat qui a lieu actuellement sur l’avenir du cinéma de L’Aigle est très important.
Le développement des
territoires situés comme le nôtre à l’écart des grands centres urbains dépend
pour une large part de la qualité
de vie qu’on peut y trouver en matière de logement, de services publics, de
moyens de communications mais aussi dans le domaine des équipements culturels
et sportifs.
Ceux-ci sont nécessaires pour fixer dans la région aiglonne
la population qui y vit, mais aussi pour donner envie à des personnes
extérieures venant notamment de la région parisienne, de s’établir dans notre
canton.
Récemment, la presse locale indiquait que 80% des transactions
immobilières sont le fait d’une clientèle parisienne. Il suffit de voir le
nombre de voitures stationnées sur le parking de la gare et dans les rues
voisines pour comprendre que l ‘avenir de L’Aigle et son développement
sont liés à cette proximité de Paris.
Les équipements culturels et sportifs (récemment le terrain
de rugby, prochainement le nouveau gymnase) répondent aux besoins de notre
époque.
Le projet de complexe
culturel (cinéma + théâtre) voté par la CDC et dont le financement est établi
en fait partie. Le réaliser c’est travailler pour l’avenir, le refuser c’est
faire le choix de la stagnation et même de la régression.
Mortagne a réalisé le « Carré du Perche »,
Argentan le « Quai des Arts », Alençon « ANOVA ». Le Pays
de L’Aigle a besoin d’un
équipement comparable, à la mesure de ses besoins. C’est ce que la CDC a admis
en le votant à la quasi unanimité.
Au niveau du département, la
politique culturelle gérée par l’Office de la Culture donne globalement
satisfaction.
Il reste quelques
améliorations à apporter :
-
la subvention de
la « Saison Culturelle Jeune Public » est destinée aux enfants des écoles maternelles et primaires alors
que c’est une compétence municipale. Cette subvention devrait être attribuée
aux collèges qui dépendent du Conseil Général.
-
Les aides aux
écoles de musique devraient être augmentées pour leur assurer un meilleur fonctionnement.
-
Jazz en Ouche qui
fait connaître dans un large rayon le Pays de L’Aigle devrait être davantage
aidé, et sa communication pourrait prendre place sur les abribus du
département.
-
Et pour terminer
sur une note optimiste, disons que le Printemps de la Chanson est une réussite.
En conclusion il faut dire que le « volet culturel »
n’est pas un simple décor qui
embellit le paysage, il est un élément essentiel du développement économique et
de l’épanouissement humain.
AGRICULTURE
Le
département de l'Orne est un département rural où l'agriculture a
une place importante. Il est là pour mener une politique de soutien
aux exploitations en difficultés.
Nous
savons que les grandes décisions qui orientent la politique agricole
sont européennes, mais il reste quelques leviers au niveau national
et local. Il y a un vrai déficit d'installations et les
exploitations à céder vont malheureusement agrandir trop souvent
les exploitations existantes.
Le département, à travers la CDOA doit appuyer les dossiers des candidats prioritaires ( plus petite structure, développement de productions en circuits courts) plutôt que ceux qui n'envisagent que grossir.
L'abandon des quotas laitiers et la crise laitière à venir risquent de continuer à faire disparaître les exploitations laitières déjà en chute sur notre canton. Les éleveurs connaissent de grosses difficultés, ils disparaissent au fur et à mesure. Le soutien n'est pas à la hauteur. Aujourd'hui, dans l'Orne, on ne peut pas continuer à laisser mourir ces petites exploitations familiales, celles qui créent de la richesse, de l'emploi non-délocalisable. Que veut-on pour notre territoire? Une agriculture qui meurt alors que la France importe de plus en plus de poulets...Une agriculture qui ne serait là que pour enrichir « l'agri-business » et qui détruit les autres!
Le département, à travers la CDOA doit appuyer les dossiers des candidats prioritaires ( plus petite structure, développement de productions en circuits courts) plutôt que ceux qui n'envisagent que grossir.
L'abandon des quotas laitiers et la crise laitière à venir risquent de continuer à faire disparaître les exploitations laitières déjà en chute sur notre canton. Les éleveurs connaissent de grosses difficultés, ils disparaissent au fur et à mesure. Le soutien n'est pas à la hauteur. Aujourd'hui, dans l'Orne, on ne peut pas continuer à laisser mourir ces petites exploitations familiales, celles qui créent de la richesse, de l'emploi non-délocalisable. Que veut-on pour notre territoire? Une agriculture qui meurt alors que la France importe de plus en plus de poulets...Une agriculture qui ne serait là que pour enrichir « l'agri-business » et qui détruit les autres!
Le
département doit inciter les agriculteurs à se tourner vers plus
de proximité. Les circuits courts offrent des opportunités
indéniables pour maintenir une activité agricole viable et donner
de la valeur ajoutée aux productions. Un soutien fort à une
agriculture de proximité peut avoir un effet profitable pour le
territoire, notamment à travers le développement de l’agritourisme
et de la biodiversité.
Sur
la question de l'environnement, l'actualité départementale est là
pour nous rappeler l'importance d'avoir des élus qui s'impliquent
sur le territoire. Comment a-t-on pu proposer des terres agricoles à
une entreprise comme GDE, avec l'impact écologique que cela peut
avoir. Même si on comprend l'attrait économique que peut avoir
l'installation d'une entreprise de cette taille, il aurait semblé
plus judicieux pour le département de soutenir le monde
agricole.
Nous nous battrons pour un meilleur environnement, pour favoriser l'installation agricole des jeunes Faire confiance à une agriculture de proximité, à une agriculture de qualité, c'est permettre aux agriculteurs de mieux vivre.
Nous nous battrons pour un meilleur environnement, pour favoriser l'installation agricole des jeunes Faire confiance à une agriculture de proximité, à une agriculture de qualité, c'est permettre aux agriculteurs de mieux vivre.
LES ROUTES DE L’ESPOIR.
Avec plus de 127 millions d’euros investis en 10 ans sur les routes de l’Orne, la majorité départementale peut être fière du travail accompli.
Comme le montre la carte éditée par le Conseil Général, la
plupart des routes de l’Orne ont fait l’objet de créations ou réfections
importantes… Mais si l’on y regarde de plus près, on constate que notre canton
de l’Aigle a été oublié. Pas un centime pour nos routes! Et pourtant, les
promesses ne datent pas d’aujourd’hui. Déjà Jean-Claude Lenoir, il y a une
vingtaine d’années, promettait l’équité entre la RN12 et notre RN26 : 1
franc pour la 12, 1 franc pour la 26. Résultat, la RN12 est pratiquement en 2
fois 2 voies de Alençon à Verneuil. Et la 26, elle, a été déclassée en départementale
et oubliée sur notre Canton.
Depuis la présidence d’ Alain Lambert, ancien ministre, aucune réalisation pour
désenclaver l’Aigle n’a été réalisée.
Axe naturel de la région parisienne vers l’Aigle, notre
réseau routier méritait d’être aménagé pour accueillir les entreprises franciliennes.
C’était l’occasion de prendre en compte les résidents aiglons
qui vont travailler vers Paris au quotidien avec leur véhicule.
Le constat est là: que ce soit pour le réseau routier,
le très haut débit internet ou la fibre optique, nos élus locaux n’ont rien
fait ou n’ont pas été entendus ; sans doute trop proches de leur majorité
et contraints à un soutien sans contrepartie !
Mais il reste l’espoir :
La Nouvelle Région Normandie.
Dès janvier 2016, elle réunira
l’Eure et l’Orne. C’est une opportunité à saisir pour notre Canton de l’Aigle.
L’aménagement routier L’Aigle-Verneuil en 2X2 voies permettrait de rejoindre
directement la RN12 et ainsi d’avoir un vrai débouché vers Paris.
Et qu’on ne nous dise pas
qu’il n’y a pas d’argent, les 127 millions d’euros investis sur les routes de
l’Orne depuis 10 ans démontrent le contraire !!!
Nous sommes passés à côté de
l’aménagement routier. Ne passons pas encore une fois à côté de l’aménagement
numérique alors que l’Eure et Rugles, tout près de nous, seront équipés avec la
fibre optique dans les 2 années à venir.
En 2011, lors des dernières
élections cantonales, les candidats de droite nous promettaient déjà ces
aménagements numériques… Mais force est de constater qu’aujourd’hui, RIEN n’a été
réalisé, pas même le début du commencement !!!
En nous apportant vos
suffrages aux élections du 22 mars, vous donnerez un signe fort au département
et nous ferons valoir les besoins de notre Canton de L’Aigle.



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